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CHIWOS-PAW

Donner la priorité à la santé et au bien-être des femmes autochtones vivant avec le VIH

Pour garantir que les voix des femmes autochtones soient correctement représentées au sein de CHIWOS, des chercheurs non autochtones de CHIWOS et des dirigeants autochtones du Canada se sont réunis pour former un conseil consultatif en 2012.À l'époque, le conseil consultatif était nommé Le Conseil consultatif autochtone de CHIWOS : Prioriser les besoins en matière de santé des femmes autochtones séropositives (CAAB-PAW). Bien que nous utilisions désormais le terme Autochtone, nous continuons d'utiliser l'acronyme.

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Grâce au CAAB-PAW, une formation pour les chercheurs et les coordonnateurs spécifiques aux communautés et aux enjeux autochtones a eu lieu au CAHR 2012 à Montréal et une subvention de planification des IRSC a été reçue, permettant une réunion de retraite en septembre 2012.

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Un financement a été obtenu pour déployer les activités CAAB-PAW dans chacune des trois provinces CHIWOS (Ontario, Colombie-Britannique et Québec), et deux nouvelles provinces ont été engagées dans des activités CAAB-PAW (Saskatchewan et Manitoba).

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Cérémonie de transfert de données sur les femmes autochtones CHIWOS

Tenue le 5 avril 2017 sur le territoire non cédé du peuple Kanien'kehá:ka, cette cérémonie a été un événement monumental au cours duquel les données quantitatives des 318 femmes autochtones vivant avec le VIH qui ont participé à CHIWOS ont été transférées aux dirigeants universitaires et communautaires autochtones.

 

Cette cérémonie était conforme aux protocoles éthiques de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, à la recherche autochtone, tels que la propriété, le contrôle, l'accès, la possession (PCAP®) et aux principes métis et inuits équivalents.

 

Guidée par un aîné qui a offert des enseignements et des prières d'ouverture et de clôture, la cérémonie comprenait des cadeaux, des tambours et des chants. Cet événement a mis en lumière le droit des peuples autochtones à l’autodétermination, à être traités comme des partenaires respectés dans les questions qui les concernent et à pouvoir contrôler et protéger leurs savoirs traditionnels. Environ 50 chercheurs, stagiaires et coordinateurs étaient présents.

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Cliquez ici pour en savoir plus sur la cérémonie de transfert de données dans notre article « Un parcours de recherche « dans le bon sens Â» : partenariat, cérémonie et réflexions contribuant aux soins et au bien-être des femmes autochtones vivant avec le VIH au Canada Â». 

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